mardi 30 août 2016

BAD - Tome 1 : Amour interdit

Jay Crownover
Les Editions Harlequin (2016)
Sortie originale 2014
374 pages 

Synopsis :
Seul l'amour pourra les sauver... Il s’appelle Bax. Un nom qui fait trembler tout le quartier de The Point. Un nom synonyme de violence, un nom synonyme de sang. Et aujourd’hui, Bax a bien l’intention de le faire couler pour obtenir des réponses. Car il vient de sortir de prison après cinq années ; 1 826 jours passés derrière les barreaux, sans bière, sans fille, sans rien, pas même la garantie d’en ressortir vivant. Et pour commencer, il doit trouver Race, celui qu’il considérait comme son meilleur ami, pour lui poser quelques questions sur cette fameuse nuit où tout a basculé. Elle s’appelle Dovie. La survie dans The Point, ça la connaît. Elle a même établi quelques règles. Règle n°1 : se la jouer discrète, par exemple en s’habillant comme un mec et en cachant sa crinière rousse. Règle n°2 : éviter de sortir avec les types du coin. Règle n°3 : ne jamais rien devoir à personne. Mais lorsque Race, son frère, disparaît mystérieusement, Dovie n’a plus le choix. Adieu les règles, bonjour le danger. Car son seul espoir de retrouver son frère tient en trois lettres : Bax.

"Dans ma vie, je n’avais jamais eu grand-chose. Bien sûr, avec l’aide de Race, tout était devenu plus facile et j’acceptais de mieux en mieux d’espérer certaines choses : une famille sur laquelle compter, la sécurité, la possibilité de finir mes études et d’aider les gens. Mais JAMAIS je n’avais eu autant envie de quelque chose que de Bax. Et vu le genre de mec qu’il était, c’était un désir non seulement stupide mais aussi dangereux, qui risquait de me détruire".

Ce 1er tome de la saga New Adult Bad, intitulé Amour Interdit est assez particulier de par son univers glauque, ses personnages oscillant constamment entre le bien et le mal, la vertu et le vice….Même si cette histoire ne restera pas dans mes lectures mémorables, elle a néanmoins un petit quelque chose qui me pousse à enchaîner directement sur le 2ème tome, ce qui est significatif des lectures qui m’interpellent et dont j’ai besoin de connaître la suite. Même si je n’ai pas trop apprécié le personnage masculin principal, Bax, le style d’écriture de l’auteure, la manière qu’elle a de mener son histoire m’a beaucoup plu. Bad – Amour interdit n’est donc pas un coup de cœur mais est néanmoins très addictif !

Ce que j’ai aimé dans ce livre :
1#-La vie dans la rue : Ok, ce n’est pas très glamour comme environnement mais l’auteure américaine Jay Crownover a trouvé le ton juste pour décrire l’univers crasseux, violent et même mortel de certains quartiers américains sans foi ni loi. On sent presque l’odeur de pisse qui doit émaner des murs sombres des ruelles mal éclairées que constituent The Point, où évoluent nos héros. Bax est le digne représentant de ce monde dur et hostile avec ses cicatrices, ses années de prison - et depuis sa sortie - sa vie toujours en marge de la société où se côtoient les « fight clubs » et les bars à gourgandines….J’ai vraiment beaucoup apprécié ce dépaysement dans lequel l’auteure m’a plongée et dont Dovie est le seul repaire moral et familier.

«Le regard déçu de Dovie me hantait toujours. Je pouvais pas dire que j’en avais rien à foutre d’elle mais ce qui était certain, c’est qu’elle méritait mieux que ce que j’avais à lui offrir. Des visites en taule ou au cimetière, voilà ce qui l’attendait si on restait ensemble ».

2#-Dovie : Si je n’ai pas beaucoup apprécié le caractère très spécial de Bax, pour ce qui est de Dovie, elle remporte tous les suffrages en matière d’héroïne de livre courageuse, gentille et altruiste. Et pourtant, comme Bax, elle a grandi dans la rue, elle a eu une enfance plus que difficile (puisque sa mère était une junkie et qu’elle est le fruit d’une liaison illégitime avec un mec friqué et sans scrupule qui avait souhaité que sa mère avorte)….On peut dire que Dovie a bien débuté dans la vie, n’est-il pas ?....Et pourtant, la jeune femme est restée honnête et pure. Alors que Bax a choisi la voie de la facilité, de l’argent facile gagné dans l’illégalité, Dovie, elle, bosse comme serveuse tous les soirs et travaille dans un foyer pour jeunes adolescents le reste du temps. Il fallait vraiment une fille lumineuse comme elle pour le sombre Shane Baxter, pour pouvoir le dompter et lui montrer que le monde ne se résume pas aux bagarres, aux strip-teaseuses et aux vols de voitures….Cela dit, il y a un élément dont on peut féliciter Bax, c’est qu’il n’a pas basculé dans la drogue ou l’alcool ! Un bon point pour lui….Et surement un détail essentiel et fortement attractif pour la jeune femme vu qu’au niveau des drogués, elle a assez donné avec « maman »….(et pour ce qui concerne Bax, il n’est pas mieux loti puisque sa mère est alcoolique…)….

«-T’en connais toi, des hommes riches et puissants qui arrivent à garder leur braguette fermée ? Je suis le secret honteux de Hartman. Un secret pas si bien gardé puisque Race m’a retrouvée il y a quatre ans, juste après mon seizième anniversaire. Pas la même mère, pas le même nom, mais le même salaud de père. Si tu peux vraiment aider Race, alors je te dirai tout ce que tu veux savoir. Sinon, je le trouverai toute seule. Il est ma seule famille et je tiens à lui plus que tout. Il m’a sauvé la vie.
J’ai détourné mes yeux de la photo et j’ai regardé la fille. Race était un beau gosse, raffiné et classe. A l’exception de sa crinière rousse et de ses lèvres sexy — et de ses beaux yeux, il fallait l’avouer —, cette fille était carrément banale, à côté. Son regard a accroché le mien et c’est là que j’ai percuté. Des yeux verts. Profonds. Qui te transpercent. Les mêmes yeux que Race.
-Tu vas te contenter de me balancer tout ce que tu sais. Race est ma famille aussi, et je ferai tout ce que je peux pour le tirer de ce merdier ».

3#-Les personnages secondaires : Evidemment, je pense d’abord à Race, le demi-frère de Dovie et accessoirement meilleur ami de Bax (avant qu’il passe ses cinq dernières années en prison, dénoncé par Race….). Le mystère sur la disparition du beau blond au début du livre est justement l’élément déclencheur du rapprochement entre Bax et de Dovie puisque sinon, ces deux-là n’auraient jamais dû se rencontrer (encore que, vu que Dovie est la sœur de Race, à un moment ou à un autre, ils se seraient croisés, fatalement, mais je pense que Bax serait toujours resté sur la première impression qu’il a eu de Dovie, c'est-à-dire une fille banale, sans intérêt et qui se cache dans des vêtements amples et masculins….Cela change des bombasses comme Honor, la strip-teaseuse, n’est-ce pas, Bax ?!). Alors justement, après Race, nous avons d’autres personnages très intéressants dans l’histoire, autant au niveau des filles que des hommes (Grrroarrrrgh Titus, le beau flic et demi-frère de Bax….!!!!!)….Certains vont se retrouver héros des prochains tomes, bien évidemment, alors je n’en dis pas plus à leur sujet.


«Une nuit, alors qu’on n’était encore que deux ados, j’ai essayé de lui piquer sa caisse, une sublime Mustang Roush avec une blonde tout aussi sublime sur le siège passager. Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’un gars aussi classe venait foutre dans le quartier, mais je n’allais pas laisser passer une si belle occasion. J’ai sorti mon couteau et j’ai viré Race de la bagnole. Sauf qu’il avait pas du tout l’intention de se laisser faire. J’ai jamais su si c’était la caisse ou la fille qu’il protégeait mais, ce jour-là, on s’est tous les deux mis une grosse branlée. Je lui ai pété le poignet, il m’a défoncé plusieurs côtes et mes deux dents de devant. C’était sanglant. Epique, même. Le genre de baston où, si tu butes pas ton adversaire, ça devient ton meilleur pote. C’est ce qui s’est passé. J’ai pris la place de la blonde sur le siège avant et on est allés à l’hôpital. Race est devenu mon frère de sang. Je ne suis jamais allé à la baraque de ses vieux, ni à son école. Ça aurait terni sa réputation. Il ne traînait pas non plus avec moi dans le ghetto et j’avais pas envie de lui faire subir la présence de ma mère, souvent complètement cuite. Quand j’ai commencé à retaper des bagnoles pour Novak, j’avais besoin d’aide pour les systèmes électroniques de certaines caisses de grand luxe. Race était le seul à qui je faisais confiance pour me couvrir. On passait du bon temps ensemble, on sautait des meufs ultra-chaudes et on prenait des trucs que des gamins de notre âge n’auraient pas dû connaître. Chaque jour en taule, j’ai regretté de l’avoir embarqué dans ce merdier, de l’avoir entraîné si bas. Cinq longues années durant lesquelles j’ai préparé ce que j’allais lui dire pour m’excuser. Cinq putains d’années pendant lesquelles j’ai attendu les excuses qu’il me devait, en espérant que le jour venu, elles m’empêcheraient de lui broyer la gorge. Lui et moi, on avait fait beaucoup d’erreurs. Il allait falloir qu’on s’explique ».

4#-La romance peu banale entre Bax et Dovie : Notre héros sort de cinq années de prison. Sans contact avec des femmes – Je ne vous fais pas de dessin – D’un seul coup, il lui arrive dans les pattes une jeune femme de 20 ans à la chevelure flamboyante qui se trouve être la sœur de son meilleur ami. Néanmoins, elle ne lui a pas tout de suite tapé dans l’œil car la petite rousse cache son corps sublime sous des vêtements de garçon (pour passer inaperçue dans ce foutu quartier mal famé). Dovie sait qu’elle ne peut que compter sur Bax pour retrouver son frère et celui-ci lui propose donc de vendre son âme – ou plutôt  son corps – au diable….Alors, oui, c’est vrai que leur histoire d’amour commence d’une manière bien particulière mais dans l’univers dans lequel ils évoluent, cela n’est finalement pas plus choquant que cela…Surtout que Dovie est attirée physiquement par Bax….Le challenge, c’est de pouvoir transformer ce « deal sexuel » en romance, bien évidemment….

«Je n’avais jamais supplié quelqu’un de ma vie, et je savais bien que Bax était le genre de type à qui il valait mieux ne rien devoir. Mais Race méritait bien une dette, il fallait que Bax le comprenne. J’ai tenté de lui faire voir tout ce que je ressentais d’un regard, mais ses yeux noirs n’ont pas flanché. Il a fait claquer sa langue et m’a contemplée du haut de mon bonnet jusqu’à mes tennis usées.
-T’es vierge, Red ? J’ai eu un mouvement de recul. Quel rapport avec le reste ? Une vague de chaleur a embrasé mes joues et j’ai croisé les bras.
-Pourquoi ? Qu’est-ce que ça vient faire là-dedans ? Bax a sorti un paquet de cigarettes de la poche de son sweat et m’a lancé un regard équivoque.
-T’as dit que tu me filerais tout ce que je veux. Je pense pas que tu aies ce qui m’intéresse, mais j’ai passé cinq longues années seul en taule, alors… Je n’aurais pas su dire s’il essayait vraiment de me draguer ou s’il était volontairement blessant et vulgaire. Est-ce qu’il était sérieux ? Ç’aurait été la pire des options.
-Ce n’est pas drôle, ai-je grincé ».

«Il s’est marré et a soufflé une bouffée de fumée avant de me tourner autour en passant son pouce sur sa lèvre inférieure.  
-Déjà, personne m’appelle Shane. Pour toi, ça sera Bax et rien d’autre. Et ne dis pas que tu es prête à tout donner si tu ne peux pas assumer derrière. Les gens de cette ville, ils te prendront tout, avec ou sans ton accord. Allez, rentre chez toi. Bax a posé sa main sur la porte, prêt à retourner à l’intérieur du club. Il allait de nouveau m’échapper. Je ne savais toujours pas quel échange il risquait de me proposer mais j’envisageais d’accepter. Pour Race. Quitte à haïr Bax de tout mon être.
-Je ne suis plus… vierge, ai-je finalement lâché. On ne peut plus me prendre ma virginité, je l’ai déjà donnée à Billy Clark. On avait bu. Une bouteille de vin volée. J’avais seize ans et il me trouvait jolie. C’était bien le seul. Je n’ai pas peur de toi, Bax. Mais je suis terrifiée pour Race. Alors, dis-moi ce que je dois faire. J’avais dû être très persuasive car il a jeté sa cigarette et a ouvert la porte du club en grand.
-On va tous les deux le regretter, Red. Et tu pourras pas dire que je t’ai pas prévenue. Il m’a laissée entrer dans le club et j’ai senti son regard peser sur moi. J’ignorais ce pour quoi je venais de signer, et ce qui m’attendait au tournant. Mais en cet instant, ce que je savais au plus profond de moi-même, c’est que j’allais sans doute y laisser une partie de mon âme ».

«Dis-lui de me trouver et que Novak c’est mon problème, plus le sien. Dis-lui que jusqu’à ce que je dise le contraire, il ne me doit rien. T’as pigé, Red ? Je détestais ce surnom. Vivre dans des endroits craignos, c’est une chose, mais quand en plus on a une couleur de cheveux rouge pétant qui fait rire tout le monde, ça devient vraiment lourd. Mais Bax n’était pas le genre de mec que j’allais pouvoir rembarrer avec un surnom encore plus ridicule. En fait, il n’avait pas l’air d’être le genre de mec que l’on rembarrait tout court ».

Ce que je n’ai pas aimé dans ce livre :
1#-Le côté dangereux de Bax rabâché sans cesse par Dovie : Pitié !!!!!! Au bout d’un moment, j’en avais vraiment ras le bol ! Ok, Bax est un voyou qui a fait de la taule, une petite frappe qui traine dans les trucs louches mais je trouve très exagéré la manière dont Dovie le couvre de cette aura létale qui ne reflète en rien les faits, juste les faits ! Ah oui, pour se vanter d’être un bonhomme, un balèze, un mâle « humf humf homme des cavernes » Bax est doué pour cela mais il ne faut pas oublier qu’il n’a jamais tué personne (malgré le fait que Dovie le décrive car un démon dangereux et mortel) et qu’il est allé en prison pour….un vol de voiture….Bref, c’est une grande gueule qui aboie beaucoup mais qui ne mord pas vraiment…..Le fait que Dovie différencie Shane de Bax, en l’appelant par son prénom dans ses moments « doux » et par son surnom, diminutif de son nom de famille, pour les moments « durs » était intéressant sauf que, en fait, avec Dovie, il se comporte toujours en Shane, finalement…..Idem, quand il lui laisse penser qu’il va peut-être faire la peau à Race – le frère de Dovie – parce que c’est à cause de lui qu’il a fait 5 ans de prison, qui y croit ? Pas moi, en tout cas ! Je déteste les gens qui se la pètent et affirment des choses mais qui n’assurent pas ensuite….Et Bax, de mon point de vue tout à fait personnel (et qui n’engage que moi) correspond parfaitement à ce genre de personnes….Cela a un peu plombé ma lecture et comme je le disais au début de ma chronique, je n’aime pas ce personnage masculin, qui est pourtant le héros….Et aussi, oui, il y a également le fait qu’il laisse penser à Dovie que même s’il se « range » avec elle, il continuera ses actions illégales….Pourquoi ????? Monsieur Baxter n’arrête pas de s’apitoyer sur son sort pour clamer qu’il ne pourra jamais changer et que c’est son destin d’être une mauvaise personne….Franchement ??!!!.....Pitié !!!


«J’ai seulement vingt-trois ans et je m’étais fait choper à même pas dix-huit. Et encore, c’était pas mes premiers ennuis avec la justice, loin de là. Je suis pas un mec clean, ni un pro des bons choix, mais je connais mes points forts et je me débrouille avec pour m’en sortir. Quel que soit le prix ».

«J’étais bien plus baraqué maintenant que quand je m’étais fait prendre. Pas sûr que ces débiles l’aient remarqué. Peu importe que tu sois jeune ou sportif : l’alcool, les drogues et les filles faciles, ça ramollit. Mais quand on t’enlève tout ça du jour au lendemain pour te mettre dans une piaule où ta forme physique devient ta seule arme pour ne pas crever, ça te change un homme. Mentalement comme physiquement ».

«J’étais plutôt grand, plus d’un mètre quatre-vingts. Mes cheveux et mes yeux noirs avaient toujours plu aux filles. Genre, ça me donnait des airs mystérieux. Je n’étais pas un grand bavard, à moins d’avoir un truc vraiment important à dire, ce qui entretenait mon image — fondée — de dur. Je savais que j’avais une belle gueule. Pas le mannequin de l’année, mais les filles faisaient comme si. Et ça, malgré la cicatrice sur mon crâne et mon nez mille fois pété. Le détail qui me différenciait du reste des beaux gosses, c’était ma petite étoile noire tatouée juste à côté de mon œil droit. A seize ans, alors que j’étais en plein trip, ce dessin m’était apparu comme l’idée du siècle. Avec le recul, ça me paraissait encore assez intimidant et provocateur, genre je-suis-assez-taré-pour-me-faire-tatouer-le-visage. J’avais l’air d’un mec dangereux. Un mec qui présentait assez bien, mais un mec dangereux ».

2#-La manière de parler de Bax : Je n’ai pas lu la version originale donc je me permettrais uniquement de faire une petite remarque sur la traduction française : Je n’ai pas du tout apprécié les tournures de phrases employées pour faire s’exprimer Bax. En effet, sur les chapitres où c’est lui qui raconte son point de vue, à chaque fois qu’il retranscrit ce que lui ont dit ses interlocuteurs il inverse les sujets-verbes-compléments…Si c’est pour nous faire comprendre que Bax est un sale voyou qui a quitté l’école trop tôt (je dirais au niveau CP vu la manière kil cause…), ce n’était pas forcément nécessaire de le faire parler de cette manière aussi grotesque…..C’est tellement caricatural que ça en devient pathétique….En même temps, de mon expérience de lectrice, il faut savoir que j’avais déjà rencontré ce genre de déconvenues « verbalistiques », notamment avec la saga « La confrérie de la dague noire » où les premiers tomes ne contenaient aucune négation dans les dialogues (je parle toujours de la VF, attention ! Je n’ai pas vérifié dans la VO)…..Heureusement, cela n’a pas duré dans les tomes suivants (et peut-être que les rééditions ont permis de modifier cette traduction ?...Allez savoir….), mais en tout cas, je peux comprendre que les livres que l’on pense « mal écrits » peuvent être rédhibitoires pour certains lecteurs qui ne continueront pas leur lecture rien que pour cela….Et c’est fort dommage !

« Ecoute, je ne sais pas qui c’était, ce gars, il a lâché ».

« Je nous ai foutus dans la merde, Race et moi, j’ai expliqué ».

Pour conclure, je dois bien admettre que j’ai passé un bon moment aux côtés de Bax et de Dovie. Comme toute histoire de la catégorie New Adult, nous suivons alternativement les chapitres du point de vue de la fille puis du garçon, ce qui nous permet de comprendre ce qu’ils ont dans la tête….Bon, pour ce qui est de Bax, après avoir achevé ma lecture, je ne comprends toujours pas ce qu’il a dans le ciboulot et j’ai dû mal à adhérer à sa manière de penser et de concevoir la vie….Ce personnage n’est pas du tout attachant pour moi, par contre, heureusement que la jolie Dovie est là pour sauver les murs ainsi que plusieurs autres personnages secondaires qui portent ainsi le récit d’une manière haletante et passionnée. C’est avec un grand plaisir que j’enchaine le 2ème tome, car mine de rien, tout ce qui se passe dans l’univers glauque et dangereux de The Point est addictif….

Ma note : 17/20

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